Des fesses charmantes et douces
Offraient leurs services
Pour les mystères d'une source
Du plaisir des orifices
Mais, c'était pour une bourse
A laquelle peu de courtisanes
Brunes, blondes ou rousses
Ne deviennent pas partisanes
Et qui oubliant la belle frousse
S'en vont rouler dans cette mousse
Oh ! ici, pas la moindre érotomanie
Car, il faut bien gagner sa vie
Dans le froid ou sous la pluie
Et toujours, la promesse du paradis
Des fesses charmantes et douces
Offraient leurs services
Pour le pesant d'une bourse
Et de quelques sévices
Patrice Faubert ( 1972 ) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "