I
Quelle malchance la tienne, mon amie
tants de vauriens t´ont malmenée,
méchament utiliser,
pour arriver jusqu' à leurs fins.
Je te sens comme mon ame soeur, ainsi,
j aimerais etre ton protecteur
car,
belle femme, tu sais,
tu es folie, tu méntoures;
voilà pourquoi je decide de t offrir mon amour.
II
Ainsi, en temps passés,
nous auriont du nous marriés,
mais tu es coquine et libre,
ça aurait été insensé.
Tu n' es point fidèle,
car tu aime ta libertée,
pendant que moi je t' aime, je t'aime,
je peux mourir et t' aimer.
Je peux mourir en t'aimant,
mais ma vie, sans t'oublier,
suis son cour, le cour du temps,
pendant que moi,
je t' aime, je t' aime,
je veux mourir en t'aimant.
III
Alors, je vie comme ton amant,
aimant t' aimer,
criant aux vents,
que ton amour immortel,
même partagé, est bienfaisant.
Certains le nomment iréel, immonde,
mais nous les mortels savons,
bien qu' il n' est pas de ce monde,
qu' il sera toujours vivant.
Todos los derechos pertenecen a su autor. Ha sido publicado en e-Stories.org a solicitud de Alejandro Sales Espinosa.
Publicado en e-Stories.org el 12.11.2008.
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