Sur ta vie le livre ou justement mieux non

Oui, à moi les lignes se sont d'abord envolées
Et tout à coup, rien du tout n'allait plus
Si on croit devoir s'incliner continuellement intérieur
Si cela peut seulement s'arrêter.
Que tu es déjà - je ne pense pas
Aussi à peine : comme tu étais meilleur non
Tu sais au plus tôt qui est bien pour toi
Ou le pressens-tu seulement ?
Combien de lignes on devait commencer
combien de rimes et vers font aussi
Si on peut jamais comprendre la grandeur humaine
Si quelqu'un le refuse d'être grand ?
Vois, et tu sais que je n'ai pas en vue
1.80 mètres ou également combien de là fut ?
On se réduit avec le temps
Mais maintenant, pourtant, pas encore.
Si tu me demandais, je devais former par écrit pour toi
Ta vie
Je viendrais dans le fait de trébucher et l'hésitation, cela se rendrait compte à moi.
Ta vie ?
Est-ce que je dois mentir donc, flatter, comment veux-tu l'avoir ?
Pourtant, on peut taire n'importe comment, autour d'alors
Rester sur la vérité.
Si elle était assez intéressante, cette vérité de moi
Ta vie ?
Est-ce que je serais je même encore, si à la fin mon ouvrage sur toi ?
Grandeur humaine ? Ne mesurer jamais dans des mètres, le pied ou cubitus, cela sait chaque enfant.
Chacun les a n'importe comment ou ne les a pas aussi de nouveau.
Je soupçonne de celui que tu comme fais que tu les as
Tu ne te trouves pas devant moi et c'est moins mauvais.
Tu deviens et ne peux pas me demander - ma langue t'est si étrangère....
A qui on tresse un jour des couronnes de gloire - ni toi ni moi ne le verront
Aussi une couronne se fane n'importe quand
Ce qui reste de nous, unit de la manière étrange :
Tes mots parlés ainsi connu
Mes mots écrits, seulement peut-être, de manière connue n'importe quand....