Meike Schrut

Ce que tu te serais souvenu.

Sous-titre : (à ton anniversaire que tu ne peux pas voir aussi de nouveau.)

 

Je te vois, comme tu es quelque part et veilles sur moi.

Car il est ce que des mères devaient faire ou faire

Aucun malheur ne se me passait plus depuis que tu étais allé

Car je m'en suis occupé n'importe comment moi-même.

J'ai comparé sa vie avec le mien

Car je me suis senti à lui près aussi ainsi :

„Vous que vous trop tôt de manière allée depuis depuis que, pourtant, là pour tout le temps.“

Te serais-tu souvenu à toi tellement, la maman ?

Ou aurais-tu sur moi la tête (une fois de plus, je sais.) de manière secouée ?

A mon monde des idées écrites, tu ne trouvais pas l'accès,

le trouverais-tu aujourd'hui ?

Il n'y a aucun oui clair, il y a seulement un oui se souvenu, de moi

Peut être qu'il est une chimère que tu veux être proche de moi

Jusqu'à la fin de mes jours terrestres.

 

de manière consacrée à l'anniversaire de ma mère : chaque fois le 1 mai (en 1935 leur 1er anniversaire, en 1995 non plus) le 1 mai 1934 jusqu'au 27/12/1994 

Todos los derechos pertenecen a su autor. Ha sido publicado en e-Stories.org a solicitud de Meike Schrut.
Publicado en e-Stories.org el 01.05.2010.

 
 

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